Nature & Prestige présente son nouveau service d’hydroseeding, une technique industrielle récemment dimensionnée pour les particuliers, qui consiste à ensemencer un sol par projection d’un substrat grainier dans le but d’obtenir une belle couverture végétale (gazon, prairie, etc.), bien plus homogène qu’avec la technique traditionnelle (à la main, au semoir ou à l’engazonneuse).
L’hydroseeding, ou “ensemencement hydraulique”, en français, consiste à mettre en œuvre, sur le sol, une émulsion d’eau, de graines, d’engrais (naturels si possible), de fibres de bois (qui retiennent l’eau) et de fixateurs (pour plaquer la graine au sol), afin de créer rapidement un couvert végétal. L’émulsion est projetée en couche de 5 mm par l’hydroseeder. Une technique utilisée depuis des années à l’échelle “industrielle” (travaux publics, notamment) pour revitaliser des sols endommagés après une opération de terrassement, par exemple, semer en pente, ou dans des conditions difficiles, des terrains vastes et pauvres.
« À travail égal, c’est le jour et la nuit ! »
Créé aux États-Unis dans les années cinquante, et introduit en Europe dix ans plus tard, l’hydroseeding vient d’être adapté à l’usage des particuliers. Nature & Prestige s’est ainsi formé et équipé pour vous apporter ce nouveau service, moins coûteux qu’un ensemencement traditionnel à la main ou au semoir, avec un résultat bien supérieur. « Il existe désormais des hydroseeders de moins d’un mètre cube pour de petites surfaces (environ 300 m2), confirme Vincent Porro, dirigeant de Nature & Prestige. Les avantages, par rapport à un ensemencement classique ? À travail égal, c’est le jour et la nuit ! La semence lève beaucoup plus rapidement et plus uniformément dans ce mélange de substrat. Nul besoin de préparer le sol dans le détail. Et le rendu est plus homogène. »
Un résultat plus probant pour un coût inférieur
À la main, au semoir, ou à l’engazonneuse, pour une pelouse ou une prairie fleurie, par exemple, qui nécessite de 5 à 10 g de graines/m2, l’uniformité est loin d’être parfaite, d’autant que les graines s’envolent, se déplacent, et ne germent pas toutes. Sans parler du sol, qui a besoin d’être travaillé pour recevoir les semences. Grâce au substrat de l’hydroseeder, tout est uniformément mélangé, projeté et “fixé” au sol. Concrètement, le résultat se situe à mi-chemin d’un semis classique et d’un gazon en plaques, pour un prix inférieur à la méthode classique dans le cas d’un travail du sol basique. Les petits jardins peuvent ainsi bénéficier de cette technique de pro pour un résultat plus probant. Il suffit de choisir, avec votre paysagiste préféré, votre mélange grainier, puis de convenir d’une date pour la projection.
Cerise sur le gazon…
« Au-delà de la végétalisation d’un bout de terrain ou de l’enherbage de talus, de zones de prairie, ou de vergers, l’hydroseeding s’avère intéressant pour une rénovation de pelouse, confie Vincent Porro : un coup de scarificateur, par exemple, un coup de canon ! Ce ne sera pas le résultat du neuf, mais cela permet de regarnir des pelouses usées sans tout refaire. » Vous l’aurez compris, cette solution moderne de semis ne vous donnera pas une pelouse de prestige mais un résultat intermédiaire et moins coûteux.